Automobile 68e Course de côte de Turckheim : ils ont fondu sur le bitume !
Le thermomètre dépasse les 35 degrés au pied du vignoble. Et l’air est moite, dense, un peu comme si un sèche-cheveux était allumé en permanence. « C’est l’Alsace, il n’y a pas d’air », sourit Philippe Schmitter, un des régionaux de cette 68e course de côte de Turckheim. « C’est quand même la première fois que la chaleur est aussi excessive. »
« On souffre, mais une fois qu’on est en course, avec l’adrénaline, on ne sent plus rien »
Dans les paddocks, les pilotes, à peine extraits de leur baquet, enlèvent casque et cagoule en ruisselant de sueur. Avant de se jeter sur la première bouteille d’eau. Fraîche, bien entendu.
Pour limiter la sensation de chaleur, les...
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