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Strasbourg & Moi « Le skate, c'est un bon moyen de passer ses nerfs » : sur le parvis du tribunal, j'ai croisé Timothée

Strasbourg & Moi spécial Sports, vos nouvelles histoires au fil de la ville (1/10). Strasbourg est leur terrain d'entraînement : on les croise, essoufflés, dès l’aube, dans les parcs, sur les quais, dans les rues ou en traversant les places. Aujourd'hui, rendez-vous avec Timothée Bach. Le skateur nous parle de ce « sport de maso », qui lui a permis de se faire des amis et qu'il pratique depuis ses 12 ans.
Le Lab des DNA et de L'Alsace (Esteban Wendling, Clara Grouzis, Pierre-Loïc Mattler, Céline Rousseau, Emmanuel Viau, Thomas Toussaint) - 24 juin 2024 à 17:00 | mis à jour le 24 juin 2024 à 21:02 - Temps de lecture :
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Illustration DNA/L'Alsace - Pierre-Loïc Mattler, Céline Rousseau et Thomas Toussaint.

Illustration DNA/L'Alsace - Pierre-Loïc Mattler, Céline Rousseau et Thomas Toussaint.

Photo DNA - Thomas Toussaint

Photo DNA - Thomas Toussaint

Bonjour Timothée

Pour ce premier épisode de notre seconde saison du podcast Strasbourg & Moi, dédié au sport, nous sommes allés à la rencontre de Timothée Bach, 25 ans.

Timothée, c’est l’un des skateurs que vous pouvez parfois croiser sur les places de la ville, que ce soit devant le musée d’art moderne ou sur le parvis du tribunal.

Il habite Strasbourg depuis quatre ans et il a commencé le skate en région parisienne, un peu par hasard : ses parents l’avaient inscrit dans un club de tennis, mais il a rapidement été attiré par la bonne ambiance du skatepark voisin… À tel point qu’il a fini par sécher ses entraînements.

Et c’est pour cette même ambiance qu’il continue, treize ans après, à pratiquer le skate dans sa ville d’adoption.

« Les skateurs, les skateuses, sont souvent vraiment très ouverts
et assez sociables.

C'est pas trop mon cas
et c'est vrai que le skate m'a énormément aidé à me faire des amis. »
Timothée, 25 ans

Strasbourg & Moi, spécial Sports

Ces femmes et ces hommes courent, glissent, roulent… La ville est leur terrain d'entraînement : on les croise, essoufflés, dès l’aube, dans les parcs, sur les quais ou en traversant les places de Strasbourg.

Pour cette seconde saison du podcast Strasbourg & Moi, nous sommes allés rencontrer ces sportives et sportifs amateurs qui ne feront pas de podiums aux Jeux Olympiques, mais qui transpirent tout autant que les plus grands champions. Elles et ils sont là pour la performance, pour s’amuser, pour faire du lien - et souvent, pour les trois à la fois. Nous leur avons demandé pourquoi ils prenaient plaisir à transpirer sur le bitume, entre les pots d’échappements, les vélos et les passants.

Et comme pour la première saison, à la fin de chaque épisode, ces Strasbourgeoises et Strasbourgeois nous recommandent l’interlocuteur suivant, dans l’idée de dessiner, au hasard de cette nouvelle chaîne de portraits, un tableau toujours plus vivant de la capitale alsacienne.

Strasbourg & Moi, vos histoires au fil de la ville.

Reportage, réalisation : Esteban Wendling
Conception éditoriale : Emmanuel Viau, Céline Rousseau, Esteban Wendling, Clara Grouzis
Conception graphique : Céline Rousseau, Pierre-Loïc Mattler
Édition : Céline Rousseau, Emmanuel Viau
Photos : Thomas Toussaint
Musique : Emmanuel Viau

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Aller à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont vécu en Alsace une époque, un événement, une rencontre, et leur demander de nous partager leurs souvenirs, à la première personne.
Pour éclairer le passé et permettre de mieux comprendre le présent.

Compagnon de route du magazine Passion Vosges édité par les DNA et L'Alsace, ce podcast vous emmène, le temps d’une escapade, faire un bout de chemin avec des hommes et des femmes qui ont noué une relation particulière avec la montagne vosgienne.

Au fil d'un trajet en covoiturage, un moment d’intimité se crée, les langues se délient parfois. On croise toutes sortes de gens et certaines de leurs histoires méritent de prendre le temps d’aller plus loin. Parce que chacun a un petit bout de route à partager.

Item 1 of 3
Sur le parvis du tribunal, attirés par le revêtement lisse de la place, les skateurs enchaînent les figures et slaloment entre les passants et les cyclistes. Ils sont au cœur de la ville, un endroit où ils ne sont pas toujours les bienvenus.

Le parvis du tribunal, comme celui du musée d'art moderne, est un lieu prisé des skateurs et skateuses de Strasbourg. Timothée ne fait pas exception. Photos DNA - Thomas Toussaint

Le parvis du tribunal, comme celui du musée d'art moderne, est un lieu prisé des skateurs et skateuses de Strasbourg. Timothée ne fait pas exception. Photos DNA - Thomas Toussaint