Automobile Sébastien Loeb : « Je ne me fixe pas de limite »
On se sent comment derrière un volant quand on a 50 ans ?
Derrière un volant ça va (rires). On ne sent pas la différence du jour au lendemain, je me rends compte que le temps passe quand je parle de mes débuts il y a 25 ans. Ça commence à faire loin mais pour l’instant j’ai toujours la forme et il n’y a rien qui change : la motivation est toujours là, le feeling avec la voiture aussi, on sent donc un peu moins passer le temps. Peut-être que les réflexes baissent un peu mais pour l’instant je ne le ressens pas dans le pilotage donc tout va bien.
« J’ai toujours roulé au feeling »
Qu’est-ce qui vous motive encore aujourd’hui ?
J’aime toujours ce que je fais. Je suis toujours passionné par le sport auto, j’aime toujours le pilotage, les challenges, la compétition. J’ai la chance de pouvoir encore représenter des constructeurs dans le championnat du monde de rallye-raids et de vivre de ma passion donc autant en profiter.
Est-ce que vous ressentez toujours la même chose qu’à vos débuts derrière...
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