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Politique Macron teste les hypothèses Cazeneuve et Bertrand, et consulte encore... l'essentiel de mardi

Xavier Bertrand, Bernard Cazeneuve, Thierry Beaudet... plusieurs noms continuent de circuler pour Matignon. Emmanuel Macron poursuit ses consultations avec les forces politiques. Revivez l'actualité politique du jour.

La rédaction - Hier à 23:46 | mis à jour aujourd'hui à 07:35 - Temps de lecture :
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Le feuilleton ne s'est pas terminé mardi. Presque deux mois après le second tour des élections législatives qui ont suivi la dissolution de l'Assemblée nationale, Emmanuel Macron n'a pas mis fin au suspense sur le nom du nouveau Premier ministre.

Après les pistes Bernard Cazeneuve, puis Thierry Beaudet, le chef de l'État a testé de nouveau ce mardi l'option Xavier Bertrand pour Matignon, provoquant une levée de boucliers du Rassemblement national à LFI, menaces de censure à l'appui.

Revivez l'actualité politique de ce mardi :

  • 23:45

    Fin de ce live

    Merci d'avoir suivi l'actualité politique en notre compagnie aujourd'hui. Rendez-vous demain pour une nouvelle journée d'informations.

  • 23:44

    Ce qu'il faut retenir de la journée

    Macron à la recherche d'une solution « politique ». Selon un proche du président, l'ex-Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve et le patron des Hauts-de-France Xavier Bertrand, chantre d'une droite sociale, reçus tour à tour la veille, assurent déjà « plus de stabilité » que Lucie Castets, la candidate du Nouveau Front populaire, éconduite par Emmanuel Macron.

    LFI dépose une proposition de résolution pour une destitution de Macron. Mathilde Panot, lors d'un point presse, a réitéré que le groupe LFI à l'Assemblée nationale déposerait une motion de censure « en cas de nomination d'un gouvernement hors NFP et hors Lucie Castets » et confirme déposer ce mardi la proposition de résolution visant à destituer le président de la République, « au titre de l'article 68 de la Constitution ».

    Le RN pour un gouvernement « technique ». Le Rassemblement national, premier groupe de l'Assemblée nationale avec 126 membres, voterait une censure contre un gouvernement dirigé par Xavier Bertrand, confirme l'entourage du parti. Le parti de Jordan Bardella et Marine Le Pen n'accepterait qu'un gouvernement « technique » qui instaurerait la proportionnelle comme mode de scrutin aux législatives avant une nouvelle dissolution dans un an, poursuit-il.

    L'hypothèse Thierry Beaudet s'éloigne. L'hypothèse d'une nomination du président du Conseil économique, social et environnemental Thierry Beaudet, qui a un temps semblé tenir la corde lundi, a vécu selon les informations de l'Agence France Presse.

  • 23:02

    Le parti socialiste ne « participera à aucun gouvernement qui ne serait pas un gouvernement du Nouveau Front populaire »

    Le bureau national du Parti socialiste, réuni mardi soir, a adopté une résolution qui liste 10 points exigés pour le futur ou la future Premier ministre.

    Le communiqué « réclame au président de la République le respect des urnes et la désignation de Lucie Castets comme Première ministre. A défaut, nous ne participerons à aucun gouvernement qui ne serait pas un gouvernement du Nouveau Front populaire ».

  • 21:26

    Pourquoi Emmanuel Macron a en tête les profils de Cazeneuve et Bertrand

    Selon un proche du président à l'Agence France Presse, l'ex-Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve et le patron des Hauts-de-France Xavier Bertrand, chantre d'une droite sociale, reçus tour à tour lundi, assurent déjà « plus de stabilité » que Lucie Castets, la candidate du Nouveau Front populaire, éconduite par Emmanuel Macron.

    « Il y a à leur égard des réticences, des lignes rouges de fond et de méthode, mais pas forcément de censure immédiate », veut-on croire de même source.

    Fort de cette possible ouverture, le président de la République continue de tester ces deux noms auprès des partis, et estime qu'il optera « plutôt » pour « une solution politique ». L'hypothèse d'une nomination du président du Conseil économique, social et environnemental Thierry Beaudet, qui a un temps semblé tenir la corde lundi, a vécu.

  • 21:00

    Marine Le Pen pose ses conditions

    Dans un entretien au Parisien, Marine Le Pen liste des conditions pour que les députés de son groupe ne censurent pas le futur premier ministre : « qu'il ne nous traite pas comme des pestiférés, qu'il respecte nos élus » et qu'il s'engage à introduire la proportionnelle aux législatives.

    Sébastien Chenu a lui était très critique envers Xavier Bertrand, qui serait « la plus mauvaise des options », « c'est le premier sur la liste à pouvoir être censuré, il ne respecte pas ses adversaires, passe son temps à insulter les électeurs du RN », a lâché sur franceinfo le député.

  • 20:25

    Édouard Philippe sur la nomination d'un premier ministre

    Le maire du Havre, dans son entretien au Point, assure qu'il soutiendra « tout Premier ministre choisi dans un espace politique qui va de la droite conservatrice à la social-démocratie ».

  • 20:17

    Au PS, il n'y aura pas de vote aujourd'hui sur le soutien à un gouvernement Cazeneuve

    La direction du Parti socialiste a refusé mardi soir de voter en bureau national sur la non censure d'un gouvernement de cohabitation mené par Bernard Cazeneuve, contrairement à ce que réclamaient les opposants à Olivier Faure.

    En début de bureau national, le patron du PS Olivier Faure, maître de l'ordre du jour, a indiqué qu'il refusait un tel vote. La direction a préféré soumettre au vote une résolution présentant les 10 points sur lesquels le PS ne transigera pas et demandera au futur Premier ministre de s'engager, comme l'abrogation de la réforme des retraites, de la réforme de l'assurance chômage et de la loi immigration, la hausse du Smic, l'ISF vert, la taxation des super-profits, des mesures pour l'école et la santé, le logement, etc.

  • 20:05

    Edouard Philippe annonce sa candidature à l'élection présidentielle 2027

    Dans un entretien au Point, Edouard Philippe affirme s'engager officiellement dans la course à l'élection présidentielle.

    >> Lire l'article complet ici

  • 20:00

    Copé veut « en finir avec le gouvernement au centre »

    Invité de France 5, le LR Jean-François Copé, ancien ministre de Jacques Chirac, estime qu'« il faut en finir avec le gouvernement au centre ». « C'est un drame : gouverner au centre, ça veut dire que vous programmer par avance comme seule alternance pour les Français les extrêmes. Je suis très nostalgique du clivage droite-gauche », poursuit-il. « Le vrai point aujourd'hui c'est qu'on tranche cette question. De mon point de vue, le pays étant à droite il faut un Premier ministre de droite ».

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  • 19:30

    « Nous voterons la censure contre Xavier Bertrand », répète Sébastien Chenu (RN)

    « Nous voterons la censure contre Xavier Bertrand car il ne correspond à rien de ce qu'il faut pour notre pays », a redit ce soir le vice-président du Rassemblement national, Sébastien Chenu, sur franceinfo.

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    Le Rassemblement national, premier groupe de l'Assemblée nationale avec 126 membres, avait déjà promis plus tôt dans la journée la censure à un gouvernement dirigé par le président LR des Hauts-de-France. Xavier Bertrand « est outrancier et insultant à l'égard du RN », a-t-on expliqué dans l'entourage de la direction. Le RN juge également qu'un gouvernement dirigé par l'ancien socialiste Bernard Cazeneuve est « impossible » car « il a été le dernier Premier ministre de François Hollande et tiendrait une politique de gauche ».

  • 19:07

    Macron penche pour une « solution politique », selon un de ses proches

    Emmanuel Macron penche « plutôt » pour « une solution politique » dans sa quête d'un Premier ministre qui ne soit pas immédiatement censuré par l'Assemblée nationale, et continue de tester les options Bernard Cazeneuve ou Xavier Bertrand auprès des forces politiques, affirme un proche du président à l'AFP.

    Après le parti Les Républicains dans la matinée, le chef de l’État s'est entretenu dans l'après-midi avec le Parti socialiste et devait aussi échanger notamment avec les Ecologistes et la cheffe des députés du Rassemblement national Marine Le Pen d'ici mardi soir, selon cette même source.

  • 18:51

    Partir ou rester au gouvernement, la question divise les ministres démissionnaires

    Plusieurs ministres qui juraient vouloir quitter le gouvernement après les législatives ne refuseraient plus d'y rester, au risque de ne pas marquer la rupture exprimée par les urnes et d'alimenter la censure des oppositions. « Si j’ai la possibilité de poursuivre les chantiers que j’ai ouverts [...] pourquoi pas », a affirmé sur CNews le ministre de la Santé démissionnaire Frédéric Valletoux, qui reconnaît n'avoir pas eu « beaucoup de temps » pour faire avancer ses dossiers.

    Sa collègue à l’Éducation nationale, Nicole Belloubet, n'est pas contre non plus demeurer à son poste. Elle invoque le « besoin de stabilité » et de « temps long » à la tête d'un ministère dirigé avant elle par trois locataires depuis 2022.

    D'autres ministres sont plus catégoriques, à l'image de celui de la Fonction publique Stanislas Guerini qui dit ne pas « revendiquer de fonction ministérielle » après avoir été battu à la députation à Paris.

  • 18:48

    Les Écologistes à l’Élysée

    Selon Le Parisien, Cyrielle Chatelain, présidente du groupe écologiste à l'Assemblée nationale, et Marine Tondelier, sont reçues par le chef de l’État à l’Élysée.

  • 18:31

    Fabien Roussel également consulté

    Selon franceinfo, Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste français (PCF), a été convié à un échange avec le président de la République.

  • 18:15

    Manuel Bompard dit avoir été contacté par l'Elysée

    Sur Twitter, Manuel Bompard « dénonce les improvisations » d'Emmanuel Macron, qui a contacté Mathilde Panot et le coordinateur de La France insoumise. Il réaffirme sa position communiquée la semaine dernière : « le président de la République doit nommer Lucie Castets, à Matignon. Dans l’attente, nous ne participerons à de futurs échanges avec le président de la République que pour travailler sur les modalités de cette cohabitation ».

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  • 17:43

    Philippe Poutou participera à la manifestation du 7 septembre

    Ancien candidat à l'élection présidentielle, Philippe Poutou regrette l'hypothèse de voir un homme issu de la droite, Xavier Bertrand, pour le poste de Premier ministre. « La gauche arrive en tête aux élections et c’est la droite qu'[Emmanuel Macron] veut placer à la tête du gouvernement », assène le politique du NPA.

    « À force de provocation et de cynisme côté pouvoir, tout cela ne pourra se régler que dans la rue, seule issue démocratique », poursuit-il, appelant à manifester le 7 septembre, mobilisation à l'initiative des syndicats Union étudiante et Union syndicale lycéenne et soutenue par La France insoumise.

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  • Vidéo

    Retour sur le parcours de Xavier Bertrand, pressenti pour Matignon

  • 17:02

    Olivier Faure et Boris Vallaud vont s’entretenir avec Emmanuel Macron

    Selon Le Monde, citant des sources internes au PS, le premier secrétaire du parti, Olivier Faure, et le chef de file des députés PS, Boris Vallaud, vont s'entretenir avec Emmanuel Macron dans le cadre des consultations.

  • 16:58

    Pour les sénateurs socialistes, le gouvernement « récolte le déficit public qu'il a semé »

    Dans un communiqué, le groupe des sénateurs socialistes « récolte le déficit public qu'il a semé » : « Alors que le ministre démissionnaire de l’Économie annonce que le déficit public atteindrait 5,6 % du PIB cette année et plongerait à 6,2 % en 2025, nous dénonçons la responsabilité écrasante du gouvernement et celle d’Emmanuel Macron dans la gravité de cette situation. »

    Les sénateurs contredisent les propos de Bruno Le Maire : « L'aggravation de notre déficit public n'est pas le fruit d'un dérapage. Non, ce n'est pas la faute des collectivités. [...] Non, ce n'est pas la faute de la croissance. [...] Oui, le gouvernement est responsable de la baisse des recettes fiscales. [...] Les difficultés auxquelles notre pays est confronté sont le fruit des politiques injustes menées depuis sept ans. »

  • 16:50

    Un vote au PS sur un gouvernement Cazeneuve ?

    Hélène Geoffroy et Nicolas Mayer-Rossignol réclament à Olivier Faure qu’un vote ait lieu à 18h en Bureau national afin que le PS annonce « clairement » qu’il ne censurera pas un gouvernement de cohabitation mené par Bernard Cazeneuve, s'il se fonde sur le programme du NFP. Selon Hélène Geoffroy sur X, en incluant « les militants de Debout les socialiste et de Refondations », « nous sommes 51 % à demander un vote du Bureau national ce soir » en ce sens.

    Les courants animés par Nicolas Mayer-Rossignol et la maire de Vaulx-en-Velin (Rhône) sont hostiles aux accords avec LFI et réputés plus ouverts au compromis avec d'autres forces politiques. Ils ont ainsi prôné la poursuite des discussions avec Emmanuel Macron. Plus tôt ce mardi, ils ont déclaré qu'il « est impensable pour nous, quel que soit le respect républicain, qu'un Premier ministre de droite soit nommé ».

  • 16:22

    Pour le groupe Liot, il faut un Premier ministre « pour changer de cap »

    Le groupe Liot indique, dans un communiqué, avoir dit à Emmanuel Macron qu'il était « urgent » de nommer un Premier ministre « pour changer de méthode et de cap ». « Les Françaises et Français sont dans l'inquiétude et les chantiers sont cruciaux », écrivent les députés Liot, qui souhaitent « un Premier ministre ayant une expérience politique éprouvée ».

    En outre, Liot réclame une session extraordinaire du Parlement.

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  • Décryptage

    Destitution de Macron : pourquoi la proposition de résolution a peu de chances d'aboutir

    L'article 68 de la Constitution indique que la procédure de destitution, une sanction uniquement politique, peut être déclenchée « en cas de manquement [du chef de l’État] à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ». Cette procédure n’a que peu de chances d’aboutir. Déjà, parce que cette dernière doit franchir plusieurs obstacles : d’abord convaincre l’Assemblée et le Sénat de se constituer en « Haute Cour », puis, une fois constituée, la « Haute Cour » dispose d’un mois pour statuer, à bulletins secrets, sur la destitution, là encore à une majorité des deux tiers.

    Si l’équivalent américain de la procédure – l’impeachment – a été de nombreuses fois déclenché aux États-Unis au cours de la dernière décennie, en France, aucun Président n’a été destitué sous la Ve République. En 2016, une proposition de résolution visant à réunir la « Haute Cour » aux fins de destituer François Hollande, signée par 79 parlementaires du groupe Les Républicains après la publication du livre Un président ne devrait pas dire ça, a finalement été déclarée irrecevable.

  • 14:59

    Destitution d'Emmanuel Macron : LFI dépose ce mardi une proposition de résolution

    Mathilde Panot, lors d'un point presse, a réitéré que le groupe LFI à l'Assemblée nationale déposerait une motion de censure « en cas de nomination d'un gouvernement hors NFP et hors Lucie Castets » et confirme déposer ce mardi la proposition de résolution visant à destituer le président de la République, « au titre de l'article 68 de la Constitution ». « Il est clair pour l'ensemble du pays qu'Emmanuel Macron est non seulement le point de blocage mais aussi la raison pour laquelle nous n'avons pas de gouvernement. »

    « C'est une réponse politique à la hauteur du coup de force démocratique qu'est en train de faire » Emmanuel Macron, poursuit-elle, évoquant des cosignataires « au-delà de LFI ». « On a bien compris que s'il pouvait se nommer lui-même et cohabiter avec lui-même, il l'aurait fait.[...] Le Président outrepasse ses pouvoirs et plonge le pays dans une crise politique qu'il a lui-même créée. »

    Mathilde Panot a indiqué en outre que la pétition lancée par LFI, « Macron Destitution », avait dépassé ce mardi midi les 180 000 signataires en près de 72 heures.

  • 14:03

    « L'actualité politique, ce n'est pas ici », réagit Xavier Bertrand depuis Châlons-en-Champagne

    Tandis que les négociations vont bon train pour trouver un nouveau Premier ministre, le favori actuel Xavier Bertrand est en visite à la foire de Châlons-en-Champagne (Marne), un rendez-vous annuel pour lui. Il n'a répondu à aucune question autour de Matignon, se bornant à rappeler qu'il est « un président de région qui est au boulot ici » [à la foire, où c'est la Journée des Hauts-de-France, NDLR], « comme chaque année. Président de région, ça me va très bien. L'actualité politique, ce n'est pas ici. »

    Questionné sur le fait qu'il avait son téléphone en main, il a répondu en souriant qu'il attendait un appel de son épouse.

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  • 13:44

    « Il est impensable pour nous qu'un Premier ministre de droite soit nommé », prévient Mayer-Rossignol (PS)

    « Il est impensable pour nous, quel que soit le respect républicain, qu'un Premier ministre de droite soit nommé. L'hypothèse de Xavier Bertrand circule, il est clair que nous ne pouvons accepter cela », a déclaré Nicolas Mayer-Rossignol (PS) lors d'un point de presse en visioconférence. « Nous voulons dire aujourd'hui en tant que socialistes et hommes et femmes de gauche, il est très clair pour nous que c'est Bernard Cazeneuve que nous soutenons », a affirmé le premier secrétaire délégué et chef de file des courants opposés à la direction du parti.

    Les courants animés par le maire de Rouen (Seine-Maritime) et la maire de Vaulx-en-Velin (Rhône) Hélène Geoffroy sont hostiles aux accords avec LFI et réputés plus ouverts au compromis avec d'autres forces politiques. Ils ont ainsi prôné la poursuite des discussions avec Emmanuel Macron, malgré le refus par celui-ci de Lucie Castets pour le poste de Premier ministre.

  • 13:27

    Laurent Wauquiez aurait assuré à Emmanuel Macron ne pas être « dans le blocage »

    Laurent Wauquiez a convoqué les députés LR à 11 h 30 pour débriefer l'appel d'Emmanuel Macron plus tôt ce matin. Selon plusieurs médias, le chef du groupe La Droite républicaine aurait assuré au président que sa formation ne serait pas « dans le blocage » en cas de nomination de Xavier Bertrand. « Le président voulait un engagement de travail en commun de notre part avec sa majorité », a expliqué Laurent Wauquiez aux députés, selon BFMTV. « Cela suppose un petit effort pour moi [l'élu excluait jusqu'alors toute cohabitation, NDLR]. Mon devoir est d'être à la hauteur. On ne sera pas dans le blocage. »

    Selon franceinfo, Laurent Wauquiez se dit prêt à ce que d'autres LR entrent au gouvernement, à condition que l’essentiel de son pacte législatif soit engagé. Côté Sénat, Bruno Retailleau a convoqué les sénateurs LR à 14 h 30.

  • 13:18

    Une journée à droite pour Emmanuel Macron

    Emmanuel Macron a discuté ce mardi matin de l'hypothèse Xavier Bertrand avec les dirigeants de la droite Gérard Larcher, Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau. Ils ont demandé au président de faire « un tour de piste » pour s'assurer que la nomination du patron des Hauts-de-France n'aurait pas une majorité de censure contre elle.

    >> Lire notre article.

  • 13:04

    Éric Ciotti sur la même ligne que le RN

    Alors que le RN a annoncé qu'il censurerait Xavier Bertrand en cas de nomination à Matignon, son allié Éric Ciotti assure que son groupe à l'Assemblée ferait de même : « Il a été jusqu’à appeler à voter communiste pour faire barrage à l’Union des droites, insultant au passage 11 millions d’électeurs », écrit-il. « Impossible d’accorder notre confiance à ces années d’ambiguïtés et de trahisons. »

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  • 12:42

    Le RN pour un gouvernement « technique »

    Le Rassemblement national, premier groupe de l'Assemblée nationale avec 126 membres, voterait une censure contre un gouvernement dirigé par Xavier Bertrand, confirme l'entourage du parti.

    Le parti de Jordan Bardella et Marine Le Pen n'accepterait qu'un gouvernement « technique » qui instaurerait la proportionnelle comme mode de scrutin aux législatives avant une nouvelle dissolution dans un an, poursuit-il.

  • 12:22

    Pour Manuel Bompard, le président « doit cesser de déformer les institutions »

    Sur X, le coordinateur national LFI réagit à l'annonce de nouvelles consultations : « Macron doit cesser de déformer les institutions en décidant à la place de l'Assemblée nationale de qui serait censuré et de qui ne le serait pas. Il doit revenir à la logique issue du résultat des élections et nommer Lucie Castets et le NFP à Matignon. »

  • En chiffres

    56 jours de crise politique, 1 trêve et 0 Premier ministre

    Voici tous les chiffres de la crise politique née de la dissolution de l'Assemblée nationale décidée le 9 juin par Emmanuel Macron :

    • 56 jours : c'est le temps qui s'est écoulé depuis le second tour des législatives, le 7 juillet, qui a débouché sur une Assemblée nationale sans majorité.
    • 7 semaines : le gouvernement de Gabriel Attal est démissionnaire et chargé d'expédier les affaires courantes depuis 7 semaines, soit 49 jours.
    • 1 trêve olympique : Emmanuel Macron a invoqué une « trêve olympique » pour mettre sur pause la crise politique durant les Jeux de Paris. Mais point de trêve paralympique : le président ne s'est rendu à aucune épreuve depuis le début des JP le 28 août.
    • 2 cycles et demi : après un premier round de rendez-vous avec les forces représentées au Parlement, organisés en grande pompe les 23 et 26 juillet devant les caméras, le président a entamé une deuxième vague d'échanges beaucoup plus informels, à l'abri des regards. Ce mardi, on apprend qu'une nouvelle consultation va être organisée, par téléphone cette fois.
    • 0 Premier ministre : pour l'instant, toujours aucun chef de gouvernement nommé, et un délai sans cesse repoussé pour l'annonce tant attendue.
  • 12:11

    Bruno Retailleau convoque les sénateurs LR à 14h30

    Si Laurent Wauquiez a convoqué les députés LR à 11h30, Bruno Retailleau organise une réunion du groupe LR au Sénat à 14 h 30, selon Le Monde.

    Emmanuel Macron s'est entretenu ce matin au téléphone avec Gérard Larcher, Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau pour évoquer la nomination potentielle de Xavier Bertrand.

  • 12:07

    Gabriel Attal a planté son arbre dans les jardins de Matignon

    C'est une tradition : tous les Premiers ministres qui ont été en poste plus de six mois doivent planter un arbre dans les jardins de Matignon. Étant chef du gouvernement depuis presque huit mois, bien que démissionnaire depuis 49 jours, Gabriel Attal a donc choisi de planter un érable cannelle ce lundi soir, dévoile Le Parisien.

  • 11:42

    Emmanuel Macron organise de nouvelles consultations

    Selon BFMTV et Le Parisien, Emmanuel Macron va organiser de nouvelles consultations avec les principales forces politiques, par téléphone cette fois.

  • 11:12

    Le RN censurerait un gouvernement Xavier Bertrand... ou Bernard Cazeneuve

    En cas de nomination de Xavier Bertrand à Matignon, le Rassemblement national voterait une motion de censure contre le gouvernement, indique l'entourage du parti. « Nous considérons cela comme une insulte envers nos électeurs », affirme le parti au Parisien.

    Même constat pour un gouvernement Bernard Cazeneuve, que le RN censurerait aussi, selon Le Parisien.

  • 11:09

    Laurent Wauquiez va débriefer l'appel du président aux députés LR

    Selon franceinfo et BFMTV, Laurent Wauquiez organise une réunion de groupe à 11h30 pour débriefer l'entretien avec les députés LR.

    Laurent Wauquiez est le chef du groupe Droite républicaine à l'Assemblée nationale. La réunion se ferait en visio-conférence.

    Laurent Wauquiez a jusqu'à présent refusé toute coalition ou participation à un gouvernement. Le groupe compte 47 députés, qui s'ajouteraient aux 166 du camp macroniste, pour un total de 213, loin de la majorité absolue de 289 sièges.

  • 10:14

    Xavier Bertrand (de nouveau) favori

    Selon un source LR, confirmant des informations de Le Parisien et BMTV, Emmanuel Macron s'est entretenu ce matin au téléphone avec Gérard Larcher, Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau pour évoquer la nomination potentielle de Xavier Bertrand. Les dirigeants de la droite ont toutefois posé deux conditions au chef de l’État : « qu'il fasse un tour de piste pour s'assurer que la nomination de Xavier Bertrand n'ait pas une majorité de censure contre elle (et) qu'il reprenne le pacte législatif présenté par LR », ont précisé les sources.

    L'entourage du Président précise qu'il continue à « tester les hypothèses Xavier Bertrand et Bernard Cazeneuve », sans indiquer si la piste LR est privilégiée.

  • 09:56

    Le budget 2025 est « une politique d'austérité » qui « aggrave le problème », selon Eric Coquerel

    Selon le député LFI et président de la commission des Finances, sur BFM Business, en tenant compte de l'inflation et de la fin naturelle de certains programmes, le projet de budget 2025 – que le prochain exécutif pourra modifier à sa guise, mais dans des délais très contraints – « constitue une baisse de 15 milliards d'euros par rapport à la loi de finances adoptée en 2024 ». S'y ajouteraient cinq milliards d'économies dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, soit 20 milliards au total.

    Pour Eric Coquerel, il s'agit là d'« une politique d'austérité [...] qui ne fait qu'aggraver le problème, tout simplement parce que dans un moment où l'activité économique faiblit dans le monde, quand vous baissez les dépenses publiques, vous augmentez l'aspect récessif de cette politique. » « Les recettes ont diminué, c'est ça le principal problème », poursuit-il. « A partir de là, il y a deux politiques » : la taxation « des revenus du capital des plus riches » et l'augmentation des salaires, « pour qu'il y ait plus de cotisations qui rentrent » dans les caisses de l’État et de la Sécurité sociale.

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  • 09:28

    La réforme des retraites est « une ligne rouge » pour les macronistes, déclare Sylvain Maillard

    La remise en cause de la réforme des retraites à 64 ans est une « ligne rouge » pour les macronistes, selon le député EPR (Ensemble pour la République) Sylvain Maillard, alors que cette question est un des points clé pour la formation d'un nouveau gouvernement. « Nous l'avons toujours dit, c'est une ligne rouge pour nous et c'est pas un plaisir de le faire [...], on n'a pas d'autre chemin que de faire en sorte de travailler un peu plus », assure l'ancien président du groupe macroniste à l'Assemblée nationale sur franceinfo. « C'est pas de gaieté de cœur, c'est qu'il n'y a pas le choix. Qui voudrait faire autrement emmène la France et l'économie de la France dans le mur. »

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  • 09:18

    « Non, Lucie Castets ce n'est pas de l'histoire ancienne », assure Emmanuel Grégoire

    « Le niveau d'exaspération contre Emmanuel Macron et le doigt d'honneur fait au NFP nourrissent un ressentiment contre le président qui met en danger la crédibilité de l'institution », soutient sur Sud Radio Emmanuel Grégoire, député PS de Paris. « Ce n'est pas parce qu'Emmanuel Macron dit non à Lucie Castets que c'est non pour nous. Non, Lucie Castets ce n'est pas de l'histoire ancienne. »

    « Tout gouvernement qui incarnerait une continuité avec le macronisme amènera à une censure », poursuit-il, confirmant qu'il « censurerait un gouvernement Thierry Beaudet si sa seule mesure était de suspendre la réforme des retraites ». « C’est un homme de talent, de dialogue […], mais je ne crois pas trop à un profil venant de la société civile qui manquerait d’habitude. Un profil politique s’impose. » Il affirme par ailleurs qu'il n'ira pas manifester le 7 septembre : « Ce n'est pas le travail des partis politiques que d'initier ce mouvement. »

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  • 08:52

    Dette : « il y a urgence, il faut redresser la situation », affirme Olivier Marleix

    Sur LCI, le député LR Olivier Marleix souligne que la « question de la dette, du déficit, est passée au second plan, elle nous rattrape. Il y a urgence, il faut redresser la situation. Le gouvernement doit se mettre au travail ».

    Pour l'ancien chef du groupe LR à l'Assemblée nationale, « tout le monde a perdu aux législatives ». « Le devoir du prochain Premier ministre sera de rendre possible le fonctionnement des institutions », affirme-t-il, en évoquant « un Premier ministre d'intérêt général ». « Je ne critiquerais pas la nomination d'un Premier ministre de droite. Avec Thierry Beaudet, on a l'impression qu'Emmanuel Macron veut garder la main, ce serait faire fi du choix des Français. »

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  • 08:47

    Pour Carole Delga, « le manque d'expérience » de Thierry Beaudet « est pénalisant »

    La présidente (PS) de la région Occitanie estime dans Le Figaro qu'« au plus haut niveau de l'État, on manque de lucidité et de hauteur et que « le temps qui passe est préjudiciable pour les Français et l'économie ».

    Interrogés sur les « premiers ministrables », elle indique « avoir beaucoup d'estime et de respect pour Bernard Cazeneuve », qu'elle voit comme un « ami ». En revanche, elle se dit « étonnée » de voir le nom de Thierry Beaudet. « Il vient du mouvement mutualiste. [...] Il n'a jamais eu de mandat électoral, et c'est un autre champ d'action que de savoir créer des majorités. Son manque d'expérience est assez pénalisant ». S'il était nommé, « un gouvernement technique serait un gouvernement macroniste censuré ». Et de tacler : « On va arrêter le voyage en absurdie ! »

  • 08:33

    Pour Eric Ciotti, Beaudet est « un choix par défaut », et Bertrand est « l’insincérité incarnée »

    Eric Ciotti, président contesté des LR, a réagi sur Europe 1-CNews à la situation actuelle : « Le président, avec la dissolution, a joué au pompier pyromane. Il fait semblant d’éteindre l’incendie mais n’oublions pas que c’est lui qui l’a allumé. Le gouvernement actuel se maintient contre toute logique [...] C'est une hypocrisie totale ». Et de poursuivre : « M. Cazeneuve, M. Hollande, M. Sarkozy, M. Bayrou, c’est l’ancien monde. Ce sont des gens qui ont échoué, qui ont fait échouer la France. »

    Questionné sur les candidats au poste de Premier ministre, il estime que Thierry Beaudet est un « homme du système », à la tête « d'un machin qui ne sert à rien ». « Si on est contraint à ce choix, qui est un choix par défaut et qui est ridicule, cela veut dire qu'on est en profonde déliquescence, dans une crise de régime. » Quant à la piste Xavier Bertrand (LR), il la juge « pas crédible ». « Xavier Bertrand, c’est l’insincérité incarnée, c’est l’absence de conviction ».

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  • 08:25

    Jean-François Copé souhaite un Premier ministre de droite

    Pour Jean-François Copé (LR), il « faut un Premier ministre qui soit de droite, qui incarne le régalien et qui soit un professionnel de la politique. » Selon le maire de Meaux, sur TF1, « les Français sont majoritairement de droite. On fait croire que c'est la gauche qui a gagné, c'est faux. C'est plutôt la droite qui est en majorité [...] Il y a 10 millions de Français qui ont voté pour le RN, on ne peut pas les balayer d'un revers de main ».

    Interrogé sur Thierry Beaudet, il poursuit : « C'est le 15e ou 16e nom qui sort. [...] Où est-il écrit dans la Constitution, dans l'histoire politique de notre pays, qu'il fallait choisir à la tête du gouvernement quelqu'un de neutre qui n'a pas d'expérience politique [...] Nous avons besoin d'un professionnel. »

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  • 08:17

    « Beaudet serait un outil dans les mains d'Emmanuel Macron », selon Sébastien Chenu

    « Il est à la tête d'un organisme inutile et il est lui-même inutile dans le paysage actuel. Monsieur Beaudet, ce serait un Premier ministre qui serait un outil dans les mains d'Emmanuel Macron », réagit le député RN Sébastien Chenu sur RTL. « Ça nous met dans de mauvaises dispositions. Ce que nous savons de lui, c'est qu'il est très hostile au Rassemblement national. »

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  • 07:49

    Les socialistes sceptiques sur l'hypothèse Thierry Beaudet

    Les socialistes ont accueilli sans enthousiasme lundi la nouvelle option pour Matignon, Thierry Beaudet: les députés du PS pourraient « bien sûr » le censurer, a mis en garde le patron du parti, Olivier Faure.

    Le CV de cet homme plutôt de gauche « n'est pas contestable, j'entends ce qu'il est », mais « je ne sais pas quelles sont les options politiques qu'il défend », a souligné le premier secrétaire du PS sur France info. Interrogé pour savoir si les socialistes pouvaient censurer un gouvernement mené par Thierry Beaudet, il a répondu « bien sûr ». « On nous donne des noms, et nous on veut un projet », a-t-il ajouté, rappelant que le Nouveau Front populaire, dont fait partie le PS, avait « une candidate », Lucie Castets, « un projet » et une majorité relative.

  • 07:32

    La piste Beaudet jugée « très sérieuse » par l'entourage de Macron

    Emmanuel Macron a déjà échangé avec Thierry Beaudet la semaine dernière dans le cadre de ses discussions institutionnelles. « C'est une option très sérieuse », a assuré un proche du chef de l’État qui connaît « très bien » l'ex-responsable mutualiste, un instituteur de formation, qui a supervisé la convention citoyenne sur la fin de vie.

    L'idée de nommer à Matignon Beaudet, rompu à la culture du consensus, a été accueillie avec une certaine bienveillance par les partenaires sociaux. Mais elle a suscité moins d'enthousiasme au sein de la classe politique. Un cadre du camp présidentiel s'interroge ainsi sur la capacité de Thierry Beaudet à « aller dans la fosse aux lions à l'Assemblée », tandis qu'à gauche la présidente socialiste de la région Occitanie, Carole Delga, observe que l'intéressé n'a « jamais gouverné » ni « travaillé au rassemblement des forces politiques ».

  • 07:26

    Vers la fin du suspense aujourd'hui ?

    Près de deux mois après les législatives, une fumée blanche pourrait enfin sortir aujourd'hui de l’Élysée, à moins que les consultations devant mener au choix d'un Premier ministre capable d'éviter la censure ne se prolongent encore un peu.

    Dans l'entourage du président, aucune information n'a filtré sur les personnalités qui pourraient encore être reçues à l’Élysée ou consultées. Et si l'on continue d'espérer une nomination mardi, c'est là aussi sans aucune garantie.

  • 07:21

    Ce qu'il faut retenir de la journée de lundi

    Emmanuel Macron a bouclé ses consultations. Le chef de l'Etat a reçu lundi  Bernard Cazeneuve et Xavier Bertrand, dont les noms sont cités avec insistance pour Matignon, ainsi que François Hollande et Nicolas Sarkozy dans le cadre de consultations pour dénicher une personnalité qui ne soit pas aussitôt censurée par une majorité de députés.

    Et si c'était Thierry Beaudet ? Emmanuel Macron a reçu Bernard Cazeneuve et Xavier Bertrand, mais l'entourage du président n'exclut pas qu'une troisième personnalité puisse finalement être choisie comme Premier ministre. « L'idée générale est de regarder si les hypothèses Cazeneuve et Bertrand sont viables au regard du critère de stabilité », a dit un proche d'Emmanuel Macron. Avant de prévenir qu'il « peut bien sûr avoir d'autres noms en tête ». Le nom du président du Conseil économique, social et environnemental, Thierry Beaudet, ancien responsable mutualiste, commence ainsi à circuler dans l'hypothèse d'un profil moins politique. Le chef de l'État a déjà échangé avec lui dans le cadre de ses précédentes discussions institutionnelles, a fait savoir son entourage. « C'est une option très sérieuse », assure un proche du chef de l’État qui connaît « très bien » l'ex-responsable mutualiste et évoque des « indices sérieux » en faveur de sa nomination à Matignon. « C'est une réponse solide et nouvelle à ce besoin de dialogue dans la société, en particulier avec les forces sociales », plaide-t-il.

    >> Découvrez son portrait ici.

    Mathilde Panot : « Nous censurerons tout gouvernement qui ne sera pas pas mené par Lucie Castets ». « Par loyauté pour les électeurs et les électrices du Nouveau Front populaire [...] nous censurerons tout gouvernement qui ne sera pas mené par Lucie Castets », a affirmé Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée, sur France 2.

    Les socialistes sceptiques sur l'hypothèse Thierry Beaudet. Les socialistes ont accueilli sans enthousiasme lundi la nouvelle option pour Matignon, Thierry Beaudet. Le CV de cet homme plutôt de gauche « n'est pas contestable, j'entends ce qu'il est », mais « je ne sais pas quelles sont les options politiques qu'il défend », a souligné le premier secrétaire du PS Olivier Faure sur France info. Interrogé pour savoir si les socialistes pouvaient censurer un gouvernement mené par Thierry Beaudet, il a répondu « bien sûr ».

  • Décryptage

    Nouveau Premier ministre : vers un gouvernement plus technique que politique ?

    Emmanuel Macron a reçu plusieurs personnalités ce lundi. En parallèle, un nouveau nom, celui de Thierry Beaudet, le président du Cese, circule pour Matignon.

    >> Lire notre article.

  • 07:15

    Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans notre direct consacré à l'actualité politique de ce lundi.