Musique Sandrine Quétier, libérée de ses chaînes, en concert à Ensisheim

Trente ans après vos débuts à la télé, vous réapparaissez en rockeuse, mais il ne s’agit pas d’une passion tardive…

Non, la musique a toujours fait partie de ma vie, le rock m’a apporté mes premiers émois, à l’adolescence. Le premier album que j’ai dû acheter devait être le Cambodia de Kim Wilde, puis il y a eu Depeche Mode, Cure, Blondie, Pretenders, les Stones, Oasis, Blur, les Smiths, plus récemment The Kills… J’écoute toutes sortes de choses, de Fleetwood Mac à AC/DC. J’ai toujours été dans des groupes aussi. J’ai commencé par chanter dans Paris avec un guitariste ; quand j’ai débuté la télé, j’avais un groupe qui s’appelait Les Cheminots de Charonne, ensuite il y a eu The Jokers (avec l’ancien batteur de Mano Negra, NDLR) pendant plus de dix ans, on a fait de belles tournées, puis il y a eu Molly Pepper pendant deux ans, on a assuré des premières parties de Trust. Et depuis un an et demi, il y a ce projet personnel.

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